SAMEDI 10 MAI. L'ARTICLE!
Il y a longtemps que je vous promettais ce petit article, mais faute de temps, j'ai repoussé le moment de le rédiger, et repoussé encore.
Ce soir, je me lance...
Comment vous décrire cette soirée tellement attendue, tellement importante pour moi ?...
Le samedi 10 mai, une date qui avait été longuement réfléchie, repoussée déjà une fois et qui aurait pu être repoussée encore une autre fois, et encore une autre, etc.
Mais il arrive un temps où l’on ne peut plus repousser, retarder ses rêves.
Il arrive un temps où l’urgence de la réalisation d’un rêve, d’un projet, d’un cheminement de soi, devient vitale, plus forte que tout, devient irrémédiable, impossible à négocier.
Le samedi 10 mai est donc arrivé, avec son lot de stress, d’inquiétudes, voire d’épouvantes (est-ce seulement exagéré ?), son lot d’inattendu, de doutes, de belles surprises et surtout, avec son lot d’émotions, de vie, tout simplement.
Déjà, il y a eu les retrouvailles chères avec quelques amis que je n’avais plus vus depuis un bon moment.
Et puis, il y a eu le déballage des photos urbaines de Djé, magnifiques, époustouflantes, encore plus belles avec ce format sur dibond, que lorsque je les avais découvertes sur Internet.
J'ai toujours conçu en effet, cette soirée d'ouverture de mon activité, avec une expo fracassante de mon ami Djé, ou Jérôme Dancette Photographe. Impossible de vous dire exactement pourquoi, si, en fait, en y réfléchissant bien. Mais ce serait certainement trop long. Et cela fera probablement l'objet d'un autre article, celui-ci davantage dédié au travail de Jérôme.
Il y a eu la sangria divine et exquise de notre pétillante et toujours si souriante Sandrine, sangria agrémentée de secrets d’Aladin, que nul ne cherchera à dévoiler, il y a eu le vin excellent de notre Wim (pour qui d’ailleurs, la belle Angélique a créé de nouvelles étiquettes à découvrir prochainement…)
Il y a eu Gaby, le saxophoniste, de belles rencontres, il y a eu les personnes qu’on espérait voir mais qu’on ne savait pas si elles viendraient, jusqu’au dernier moment, il y a eu bien sûr ces absents que l’on a fort regrettés, il y a eu my best friend, Eric, avec qui on a fait les 400 coups et qui était si heureux de voir son cher Oliv’ réaliser l’un des plus ambitieux projets de son humble existence, il y a eu les photos, les rires…
Il y a eu aussi ces émouvantes chansons gainsbouriennes, ou plutôt devrais-je dire Angéliennes, cette magnifique surprise : « le chant du chamelier » qui a cette fois-ci réussi à m’arracher quelques larmes, j’en étais bien au bord, mais elle a le don, elle, de parvenir à les faire couler pour de bon !
Et il y a eu toute cette dose de passion, nécessaire à la vie, mais qui parfois nous fait peur, nous fait douter, cette passion dont on se dit parfois qu’elle est trop folle, trop absurde pour être goûtée, réalisée entièrement.
Vaste projet donc, qui avait été mûri depuis plusieurs mois et même presque deux ans, au final, mais projet qui est devenu réalité. Une belle réalité.
Et que peut-on espérer de mieux, lorsqu’un vieux rêve devient bel et bien une jolie réalité ?
A suivre donc…
Je tiens, bien évidemment, à remercier chaleureusement et avec beaucoup d’émotion, toutes les personnes qui m’ont aidé, de près ou de loin, dans la réalisation de ce projet et également dans la réalisation de cette merveilleuse et inoubliable soirée du 10 mai dernier. OYV.